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Le 7 mai, c'est l'étape Tazenakth -Ijoukak par la piste, je m'en réjouis d'avance.
Au vu des avis divers recueillis parmi la population locale, nous en déduisons que : OUi pas de problème je l'ai fait en voiture la semaine dernière; NON c'est en travaux ça ne passe pas...
Dans le doute, ce sera goudron pour tout le monde; c'est la punition.
Les deux David, Jean-Luc et Christine, et moi-même décidons de tenter le passage, après en avoir averti Fred. Rendez-vous donc le soir au gîte d'Ijoukak.
J'ai la trace dans mon Iphone, (merci Motion X GPS, que je recommande encore une fois) comme ça j'ai deux GPS avec moi, un plus en matière de sécurité)
Après une cinquantaine de km de très très belle route (coup de coeur collectif pour cet itinéraire), nous arrivons sur la piste en travaux, puis sur la piste prévue, qui à l'air facile, et est très roulée au vu de son état. Bon présage.
Notre petit David ne se sentant pas de se risquer dans l'inconnu et de devoir rebrousser chemin en plein milieu (chat échaudé craint l'eau froide dit le proverbe), décide de faire demi-tour, accompagné de JL et Christine, qui auraient bien tenté la piste, mais ne veulent pas laisser David repartir seul.
Nous nous lançons avec David sur ce parcours, une grosse journée de TT s'annonce. On ne sera pas déçus. En plus d'être facile et sans aucune difficulté dans sa première partie, les paysages traversés sont splendides.
Nous retrouverons le goudron à deux reprises, ce qui nous permettra de faire un petite pause tajine.
La seconde piste, tortueuse à souhait nous aura promené dans la foret, avec une petite source sur le bas-côté. La moyenne n'est pas élevée, car c'est très sinueux, et étant seuls, pas question de prendre le moindre risque. Vous ne nous auriez pas reconnu tant notre rythme était pépère...
Je serais quand même obligé de faire un petit mensonge à David, qui s'inquiète de la distance restante à parcourir. Je lui annonce qu'on a fait un tiers du parcours alors qu'on en est à peine au quart.... Ca lui remonte le moral, mission accomplie...
Un petit passage un peu gravillonneux en montée nous ralentit à peine, mais il est de courte durée. A partir de là, que du roulant, la moyenne va alors regrimper très vite.
Un petit retour goudron très court, et c'est la troisième belle piste et très roulante qui nous amène au pied du dernier col à franchir. La fin de la montée sera effectuée dans un mode plus "sportif" tant nous nous régalons.
Déjà le sommet du col, en contrebas, loin dans la vallée notre gîte nous tend les bras, la descente est un peu raide mais facile.
En résumé, ce jour là, nous étions les rois du monde. (et même pas fatigués à l'arrivée)
N'est-ce pas David ?
Mais des images valent mieux qu'un long discours.
Au vu des avis divers recueillis parmi la population locale, nous en déduisons que : OUi pas de problème je l'ai fait en voiture la semaine dernière; NON c'est en travaux ça ne passe pas...
Dans le doute, ce sera goudron pour tout le monde; c'est la punition.
Les deux David, Jean-Luc et Christine, et moi-même décidons de tenter le passage, après en avoir averti Fred. Rendez-vous donc le soir au gîte d'Ijoukak.
J'ai la trace dans mon Iphone, (merci Motion X GPS, que je recommande encore une fois) comme ça j'ai deux GPS avec moi, un plus en matière de sécurité)
Après une cinquantaine de km de très très belle route (coup de coeur collectif pour cet itinéraire), nous arrivons sur la piste en travaux, puis sur la piste prévue, qui à l'air facile, et est très roulée au vu de son état. Bon présage.
Notre petit David ne se sentant pas de se risquer dans l'inconnu et de devoir rebrousser chemin en plein milieu (chat échaudé craint l'eau froide dit le proverbe), décide de faire demi-tour, accompagné de JL et Christine, qui auraient bien tenté la piste, mais ne veulent pas laisser David repartir seul.
Nous nous lançons avec David sur ce parcours, une grosse journée de TT s'annonce. On ne sera pas déçus. En plus d'être facile et sans aucune difficulté dans sa première partie, les paysages traversés sont splendides.
Nous retrouverons le goudron à deux reprises, ce qui nous permettra de faire un petite pause tajine.
La seconde piste, tortueuse à souhait nous aura promené dans la foret, avec une petite source sur le bas-côté. La moyenne n'est pas élevée, car c'est très sinueux, et étant seuls, pas question de prendre le moindre risque. Vous ne nous auriez pas reconnu tant notre rythme était pépère...
Je serais quand même obligé de faire un petit mensonge à David, qui s'inquiète de la distance restante à parcourir. Je lui annonce qu'on a fait un tiers du parcours alors qu'on en est à peine au quart.... Ca lui remonte le moral, mission accomplie...
Un petit passage un peu gravillonneux en montée nous ralentit à peine, mais il est de courte durée. A partir de là, que du roulant, la moyenne va alors regrimper très vite.
Un petit retour goudron très court, et c'est la troisième belle piste et très roulante qui nous amène au pied du dernier col à franchir. La fin de la montée sera effectuée dans un mode plus "sportif" tant nous nous régalons.
Déjà le sommet du col, en contrebas, loin dans la vallée notre gîte nous tend les bras, la descente est un peu raide mais facile.
En résumé, ce jour là, nous étions les rois du monde. (et même pas fatigués à l'arrivée)
N'est-ce pas David ?
Mais des images valent mieux qu'un long discours.
![[BAVE]](/users/2914/31/24/17/smiles/290505352.gif)
